Citation :

DON : MÉMOIRE EXCEPTIONNELLE ;
Ces Contaminés peuvent pratiquement tout retenir. Le moindre détail semble être gravé dans leur esprit. Attention, cela peut parfois se retourner contre eux, même si c’est considéré comme un don.

Tous les enfants en bas-âge ont une certaine difficulté au départ pour retenir le nombre de doigts que compose leur main, d’autres luttent pour apprendre les couleurs de l’arc-en-ciel ou bien l’alphabet, certains ne parviennent pas à retenir dans l’immédiat le nom des animaux que compose une ferme. Akira n’a jamais connu ce problème ! L’unique raison de cette « qualité » est qu’il a obtenu une mémoire exceptionnelle à sa naissance. Il n’a jamais connu, comme la plupart des autres élèves, le problème de ne pas pouvoir retenir une leçon pour le lendemain. Pour lui, il suffit simplement de lire deux, peut-être trois fois une leçon pour la connaître par cœur et la citer à l’oral ou bien à l’écrit sans avoir eu le besoin au petit main de la relire avant de mettre les pieds en classe. Ce don lui a permit d’intégrer les meilleures classes, mais aussi de s’attirer des ennuies.

Citation :

DÉGOUT DE LA NOURRITURE ;
Ce Contaminé, comme tout être humain, doit se nourrir pour survire. Cependant, la nourriture le révulse plus que tout et il doit se forcer pour manger. Les repas sont un véritable calvaire, certains y arrivent mieux que d’autres. Mais la plupart sont assez maigres.

Akira n’a jamais vraiment été malade, attrapé un rhume n’a jamais été d’actualité chez lui. Il n’a jamais non plus éprouvé un quelconque problème de santé. D’ailleurs, il a toujours débordé d’énergie et aimé l’épuiser. Seulement, il a toujours eu ce petit problème avec la nourriture sans aucune raison apparente. Les médecins avaient bien cru qu’il avait un léger problème de digestion ou bien que quelque chose n’allait pas au niveau de l’estomac ou des intestins, mais les nombreux examens négatifs ne pouvait révéler que l’handicap dont il est atteint. Ça a toujours été affreusement fatiguant de passer des heures à tables sans parvenir à avaler correctement la moindre miette, c’était d’autant plus difficile de ne pas inquiéter ses parents qu’il recrachait la nourriture discrètement dans sa serviette de table derrière leur dos.

Qui est donc cet adorable petit agneau ? Ce jeune a parfaitement gardé l’aspect d’un enfant si fragile, tellement adorable que quiconque aimerait le protéger aux creux de ses bras, le garder prêt de soi pour ne pas qu’il lui arrive quelque chose. Cependant, ne dit-on pas que les apparences sont parfois trompeuses ? Ce cher blondinet aux airs angéliques est l’exemple parfait de ce dicton. En réalité, surtout selon la personne que vous êtes, il peut se comporter de deux différentes manières. En réalité, il n’est pas aussi tendre qu’une peluche. Ce sont des aspects caractériels qui se présentent différemment lorsque vous êtes parvenu à cerner cet individu.

• 1er cas possible :
Akira est un effroyable petit monstre à l’aspect si tendre que tout le monde se laisserait béatement bouffer parce cette petite bête aux intentions démoniaques. L’apparence du clown blagueur jouant de son humour à tout bout de champ qu’il laisse apparaître chaque jour peut passer cependant par un côté des plus obscurs le laissant devenir un bagarreur complètement fou et survolté. Tout ceci construit et nourrit ce côté si imprévisible. Akira est en pleine rébellion croissante. Pour lui, c’est inadmissible d’être surnommé tel un monstre lorsque l’on apprend qu’il fait parti de ces êtres modifiés. Il n’a jamais supporté qu’on le méprise pour cette excuse aussi bidon soit elle, c’est uniquement pour cette cause qu’il est devenu extrêmement manipulateur envers ceux qui portent ce jugement. Il utilise leur naïveté à sa guise, usant même de son intelligence hors du commun afin de monter de terribles plans contre eux-mêmes et de les regarder avec le sourire aux lèvres en train de s’autodétruire. Ce semblant de petit garçon joyeux méprise totalement toutes ces personnes qui viennent à croiser sa route. Devant eux, il saura jouer le gentil bonhomme adorable et aux bonnes volontés, mais derrière, il crachera sans scrupule sur leur dos et surtout avec un affreux arrière goût amer dans la bouche. Par moment, il lui arriver ‘d’utiliser’ les plus faibles d’entre eux afin de les manier comme de véritable pantin et d’obtenir ce qu’il désire. Ses actions envers ce type de personnes sont motivées par plusieurs raisons. La seule et unique volonté d’instaurer le chaos ‘dans leur clan’ l’amuse. Il fait le mal pour le mal. Sur ce coup, Akira n’a ni morale, ni éthique. Après tout, cette facette n’existe que si vous le prenez pour une abominable créature.

À présent, il est temps de passer du bon côté des choses.

• 2ème cas possible :
Du haut de ses vingt printemps, il est resté un grand enfant. D’ailleurs, il est définit que par ses attitudes lunatiques et pourtant si adorables. Ce jeune homme fait un peu ce que bon lui semble et personne ne pourra le contredire. Si quelqu’un ose franchir cette limite, il se referme facilement sur lui-même en abordant une moue des plus boudeuses tout en vous regardant avec des yeux de chiens battus. Et cela, dans le but d’avoir raison ! Hors son côté d’enfant terrible, il est quelqu’un d’extrêmement tendre et de sympathique, rieur et serviable. Il est d’autant plus intéressé par certaines personnes et encore, pour parvenir à cela, c’est à celle-ci de se mettre ‘en valeur’ pour attiser sa curiosité. Akira aime s’amuser et faire constamment le pitre allant jusqu’à planifier quelques mauvaises farces qui en sont devenus, en quelque sorte, une principale occupation. Il est aussi important de savoir que derrière son aspect quelquefois immature, il sait se comporter sérieusement lorsqu’il le faut – quand il le souhaite surtout. C’est aussi perturbant pour une personne de croiser ce sérieux lorsqu’il a rencontré le personnage dans ses moments de gamineries. Par ailleurs et pour une raison inexplicable, il déteste que l’on doute de ses capacités. Il a peut-être la crainte qu’on ne le prenne pour une moins que rien.

À force d’avoir apprit à cerner toutes sortes de personnes, il est devenu un fin psychologue qui est dans la capacité de contrôler ou de faire douter n’importe qui. Il aime se lancer des défis plus ou moins étranges et éprouve souvent soudainement aucune crainte de devoir en souffrir. Cette attitude insupportable renforce une sorte de folie qui l’enveloppe petit-à-petit chaque jour un peu plus. Jamais, encore aujourd’hui, personne n’est parvenu à savoir ce qu’il est réellement. Certains diront de lui que c’est un simple fou, d’autres plus tordus, diront qu’il est trop lucide.

Et vous, est-ce que vous pensez qu’il est atteint du Syndrome de Peter Pan ou d'une schizophrénie ?

Une chambre éclairée par une fine lumière transperçant les volets recouvrant la fenêtre pour ainsi mettre la pièce dans une totale obscurité. Un corps encore à moitié endormi ne se décide pas à se lever pour aller se préparer et filer en cours. Le réveil strident ne cesse de sonner. Une main semble chercher à tâtons l’objet avant d’appuyer violemment dessus pour le faire taire. Une voix efféminée ne cesse de clamer sa présence. Une main frappe constamment à la porte tout en lui demandant s’il allait denier par sortir. Il ne répondait pas. Sa mère désespérée avait fini par laisser tomber. Le jeune homme allongé sur son lit, sous les draps, avait passé une bonne partie de la nuit à cogiter. Comme de nombreuses fois, comme depuis toujours.

Depuis plusieurs générations, ma famille vit sur cette île. Aujourd’hui, c’est avec du mépris que nous sommes considérés comme des monstres à l’égard des nouveaux habitants encore fraîchement débarqué. Je ne cesse de repenser au courage de mes parents. Leurs sourires trompent énormément ce qu’ils pensent au plus profond. Nous avions beau ne pas être « normaux », mes parents avaient tout acceptés malgré nos petits défauts qui font partie de notre personnalité. J’en suis venu à me demander si la vie n’avait pas était injuste envers nous. Lorsque j’étais gosse, je n’avais pas compris ce malentendu, maintenant que j’avais vingt ans, j’en étais déjà terriblement fatigué. Tout avait commencé à l’école primaire. Mes camarades de classe ne cessaient de se plaindre et de me plaider coupable pour mon intelligence. Soi-disant qu’à cause de moi, les professeurs sévissaient sur les leçons non-apprises ou les devoirs qui n’avaient pas été fait à la maison. Je n’avais jamais compris pourquoi la plupart me regardaient de travers avec un certain goût amer de dégoût. Tout le monde me disait pourtant que j’étais adorable et mignon, que j’étais souriant et que j’étais un enfant plein de vie qui tentait en vain de se faire des amis. Des amis qui pourraient avant tout me comprendre, même juste un petit peu… Après tout, je n’avais jamais rien eu à perdre. Mes amis avaient finalement fini par être comme moi et de mon point de vue, c’était les meilleurs. Il y avait juste cette petite gamine brune aux lunettes rondes et aux cheveux tressés qui venaient toujours nous regarder faire une partie de football sur un terrain. Cette fille a toujours été la bienvenue, malgré que ses vieux lui interdisaient de parler à des gens comme nous. C’était des abrutis de plus sur cette île maudite.

- « Akira, mange quelque chose s’il-te-plait. »

Ma mère ne cessait d’être derrière mes fesses alors qu’elle devait s’occuper de mon petit frère, encore bambin. Je ne compris pas non plus pourquoi c’était toujours une lutte acharnée et sans aucune victoire qui aboutissait et qui se produisait à chaque repas. J’avais à peine dix ans et c’était comme si j’en avais quatre. Je ressemblais à ces gamins qui refusent de manger sa purée de pomme-de-terre en prétextant qu’il n’aime pas ça. Moi, je gardais le silence, je n’ai jamais dis que je n’aimais pas la cuisine de ma mère, au contraire, elle me faisait bien envie. Je trouvais que ça sentait bon, mais je ne parvenais jamais à déguster correctement ses si bons repas sans finir par le rejeter ou même ne pas y toucher. À force, ma place était désormais libre à table. Parfois, c’était simplement un morceau de pain d’à peine d’une dizaine de centimètre de long qui me nourrissait pour toute la journée.

- « ‘man ? »
- « Oui, mon ange ? »
- « Tu crois que je vais mourir ? »

À ce moment-là, elle m’avait regardé avec une grosse surprise inscrite sur le visage. Ses yeux étaient écarquillés. J’avais eu l’impression qu’ils allaient sortir de ses orbites ou bien exploser tellement qu’elle fût stupéfaite de ma demande.

- « Ne dis pas ce genre de bêtises, Akira. Nous trouverons bien une solution, je te le promets. »
- « Et si ça ne marche pas ? »
- « Seul, l’avenir nous le dira. »
- « Il a déjà fait trop de mal… »

Au fond d’elle, je savais qu’elle n’avait aucune solution et que celle-ci n’existait d’ailleurs pas. Je n’ai jamais cru à ce destin, il avait déjà détruit de nombreuses familles, la mienne en faisait partie et ça me tuait de nous voir faussement heureux.

Les nuits se faisaient longues. Par moment, je ne parvenais plus à dormir en fermant les yeux. Mon ventre ne cessait de se tordre, il me donnait affreusement la nausée. J’avais vraiment envie de vomir, mais j’avais beau courir dans le couloir jusqu’aux toilettes, rien ne sortait. Ça faisait encore plus un mal de chien qu’autre chose. Je me souviens de ma pauvre mère qui était constamment à mon chevet. Mon père n’avait pas vraiment le temps pour ça à cause de son travail.
Une nuit particulière, j’étais devenu aussi blanc que le linge. Cette nuit-là, j’avais bien cru que le lendemain je n’allais pas ouvrir les yeux. C’était l’une des premières fois où je m’étais assoupi pour incroyablement bien dormir. Je m’étais bien trompé sur mon compte, j’avais juste fini dans une chambre d’hôpital, une perfusion plantée dans l’une de mes veines de mon bras gauche. Je ne sentais aucune douleur, mais mon corps me disait de faire quelque chose pour retirer son truc et cesser cette chose qui s’étend en moi pour me faire survivre.

Je m’en suis toujours voulu quelque part envers mon petit frère. Jamais je n’ai pu manger un seul bonbon qu’il m’avait offert. Pour lui faire plaisir, je le prenais et le mettait dans ma poche. Je ne les aie jamais jetés, je les aie gardés dans une petite boîte comme un trophée que j’aurais pu gagner à un concours. Au début, Kiyo était curieux de savoir pourquoi je ne mangeais pas, mais en grandissant, il avait fini par comprendre mon problème et passait son temps à me remercier de ne pas lui avoir jeté les bonbons en plein visage à cause de sa stupidité. Je ne faisais que de lui répondre par un sourire.

✿ Comme toutes personnes de cette terre, il a un passe-temps favori. Le sien : Embêter le monde !
✿ Akira est un bon vivant qu’il croque la vie à pleine dent. Il aime profiter de la vie. D’ailleurs, il passe son temps à vouloir sortir, faire la fête et rencontrer de nouvelles personnes.
✿ Il adore porter des accessoires qui s’unissent à la perfection avec ses vêtements (bracelets, bagues, boucles d’oreilles, chapeaux…)
✿ Ce petit bonhomme aime prendre du bon temps pour se divertir, en-dehors de regarder la télévision, il joue énormément aux jeux-vidéos.
✿ Akira ne laisse personne indifférent, surtout les jeunes filles de son âge. Malheureusement pour elles, il déteste par-dessus tout d’entendre dire qu’il est mignon.
✿ Il a un terrible caractère de cochon !
✿ Ce blondinet déteste affronter la réalité. Celle-ci l’ayant meurtri auparavant, il préfère la fuir en se jetant dans des aventures plus ou moins anarchiques.
✿ Akira est un peu maladroit dans ses paroles lorsqu’il s’agit d’exprimer ses sentiments.
✿ Il aime tellement les choses mignonnes, qu’il détient une collection énorme et encore incomplète de peluches.

Par les pouvoirs du Secrétaire, je te valide !

Je te valide ~ Juste un petit détail ! Dans ton histoire, tu as parlé de Seiya comme étant une île... Alors que c'est simplement une ville au milieu du Japon ^^ ! Sinon, je te laisse créer tes différentes fiches et surtout t'amuser parmi nous ^^ ! Et n'oublie pas, ce n'est pas parce que tu as terminé ta fiche que tu ne peux pas harceler ma boîte à Mps si tu as une question ou un problème U.U A plus ~